Patricio-Esteban

Patricio-Esteban

Brève autobiographie

Brève biographie

 

Né à Concepción, Chili, de père et de mère inconnus ou presque, Patricio-Esteban fut adopté par des parents Français. Il acquière la nationalité française puis Canadienne par la suite. Il subira un choc psychologique qu’il traînera.

Il s’intéresse très vite à l’art et y est sensible. Le violon puis le théâtre sont les échappatoires où il s’épanouit le plus aisément. Vite, il abandonne le violon qu’il juge trop difficile d’étudier. Il devient très vite un révolté contre la religion du fait de l’enseignement catholique qu’il trouve trop sévère autoritaire et fanatique. Il est aussi victime de médisance de la part de certains garçons du fait qu’il soit d’origine latino. Il devient alors très bagarreur et est souvent punit, passant des récréations entière derrière la vitre en regardant les autres jouer. Il est aussi très tête en l’air ce qui lui fait écrire des pages et des pages de rédactions idiotes et inutiles.

Fin primaire une opportunité s’offre à lui ayant remporté un petit concours théâtre avec son binôme suite auquel le théâtre restera un objectif à atteindre.

 

Au collège il devient encore moins docile, les heures de colles se succèdent et le nombre de bêtises, pour ne pas dire autre chose, vont de paires. Des heures et des heures de colle amplifie sont dégoût de l’autorité et de l’institution dans lequel il se trouve, malgrès l’arrivée des filles dans l’établissement… La musique, le dessin et le français sont les matières auxquels il s’accroche. Physique et biologie sont des terrains où l’aventure et beaucoup plus hasardeuse. Je ne vous raconte même les mathématiques et encore moins des cours de religions où il prend un malin plaisir à faire réfléchir les autres et la personne charger de cet instruction. Il sait qu’il ne fera pas de grandes études car cette perspective ne l’enchante pas vraiment.

C’est avant de partir du collège qu’il retrouve par hasard un ami d’enfance dont il renouera contact.

A la maison, ses sœurs sont parties et son frère aussi. Il reste souvent seul car les parents sont beaucoup prit par leurs travail respectifs. C’est à ce moment là qu’il commence à faire connaissance avec le monde libertaire où il va peu à peu y trouver complètement refuge.

 

Les soirées se succèdent pour oublier le temps qui passe et passer du temps avec ses amis. Pendant tout ce temps il fait parti des scout de France où il trouve une liberté et est proche de la nature ce qui lui donne l’impression de respirer loin de la ville et du quotidien. L’aspect religieux reste le point noir mais il commence à y être plus tolèrent.

Fin 3ème, il est plus ancré dans une aventure qu’il a du mal à oublier et sombre peu à peu dans le sombre et des de plus en plus dans des idées de Révoltes. Comment se débarrasser de ce deuxième choc qu’il le déboussole ? Il trouve sa force dans l’écriture qu’il continue de peaufiner et a l’idée d’une pièce de théâtre. Il commence donc d’y réfléchir et peu à peu se rend compte du monde dans lequel il vit. Il part donc sur des réflexions dans divers domaines tels que le social, la politique, l’astrologie, l’histoire, la psychologie,…

 

Au lycée il a déjà l’idée de faire des études théâtrales et/ou de continuer dans la lignée sociale que le BAFA lui a fait connaître.

Des conquêtes et des conquêtes ne le menant à rien mais le fait réfléchir sur la nature des choses. Il a la tête à penser plus au pourquoi, aux causes, conséquences et leur impact que de s’occuper à courir après un peu d’affection humaine.

 

Aussi, il s’inscrit à l’atelier théâtre qui se met en place dans le lycée, ce qui lui permet de continuer son travail de comédien, d’écriture, de son et lumières. Il continue dans un même temps d’animer des soirées en tant que Dj à Reims et dans ses alentours, ce qui lui permet de faire grossir, entretenir son matériel au fil du temps.

 

Il ne sera pas possible qu’il fasse des études théâtrales malgrès la promesse faîtes par ses parents. Une nouvelle Claque car tous les contrats qu’il avait passé avec ses parents lui, les avaient respectés (obtenir le brevet de français, le brevet, qu’il a eu haut les mains (lol), le BAFA et le bac). Ses parents l’orientent plus vers des études d’éducateur à Bruxelles. Ainsi donc il y part sans trop en savoir plus sur ce métier. Ce qu’il voulait c’était simplement être animateur et/ou comédien. Il sera affecté dans un stage avec des enfants placés par le juge. Insupportable pour lui d’autant plus qu’il n’avait pas réglé certain problèmes lié à son enfance. Il maigrit d’un seul coup. Trop lourd à porté il revînt à Reims, d’autant plus que le métier n’était pas du tout ce qu’on lui avait dit à la base.

Crise familiale où les tensions sont palpables. « Ce sera soit le théâtre soit vendeur et je me débrouillerai comme je peux pour faire des études de théâtre ». Après une inscription à la fac de Lille où il s’est dit qu’il n’allait pas refaire la même connerie que celle de Reims, il embarqua ses affaires pour le conservatoire d’Avignon. Il essayera de monter la pièce théâtre finit mais il ne trouva pas de satisfactions. Il y restera deux années pour claquer la porte. Il entama alors des recherches pour faire de l’animation sont métier principal et continuer le théâtre à côté. (Retour à ses objectifs de départ). Il trouva une formation sur Paris, des aller et retour pour passer le concours et faire les démarches administratives et le voilà, débarquant sur Paris avec un stylo, un calepin et des affaires pour une semaine. Il commençait à peine sa formation qu’il lança le projet de « Voyage noir et blanc en Liberté de Conscience ». Désormais sur Paris il a plusieurs projets d’écriture, théâtre, et de formation qu’il compte bien mener à leur terme.

 

Merci d’avoir prit un instant pour découvrir cette personne qui a une énergie débordante à vouloir faire avancer les choses… A bientôt ou à plus tard comme vous voulez.

 

Cordialement,

Patricio-Esteban

 

 



07/11/2009

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 3 autres membres